« Bugs » est généralement un «cauchemar» pour beaucoup de filles, mais
pour les concepteurs, en particulier pour les créateurs de bijoux, ils
ne cessent d’apprendre de l’inspiration de ces éléments, surtout dans
les 4 automne/hiver FASHION WEEK en 2013. Les petites vies deviennent
tranquillement le nouveau vent de mode. Pour cette tendance, vous AIMEZ
ou AVEZ PEUR ?
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La mode peut-elle nous faire aimer n’importe quoi ? Plus le temps passe, et plus on se dit que oui… Car aujourd’hui, les insectes sortent de leur environnement naturel pour s’immiscer sur les podiums ! On connaissait déjà les coccinelles de Sonia Rykiel mais constat est fait: la secte mode des insectes s’agrandit. Sarah Burton pour Alexander McQueen fait de l’abeille la reine de sa collection ce printemps-été 2013 quand Alber Elbaz pour Lanvin construit l’automne-hiver parsemé d’insectes XXL…
Imprimés ou en touches plus discrètes, ils se font indéniablement une place de choix chez les créateurs. Et force est de constater que, curieusement, plus on les voit, plus on s’y attache. Mais de là à faire le grand saut ? Piano piano… La règle principale de cette tendance particulière est surtout de bien choisir l’insecte qui colle à son style vestimentaire: les modeuses au vestiaire pointu préféreront le bestiaire Alexander McQueen quand les adeptes du style grunge opteront pour le scarabée de Lanvin. Présentation de ce nouveau bestiaire.
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Les papillons :
La mode peut-elle nous faire aimer n’importe quoi ? Plus le temps passe, et plus on se dit que oui… Car aujourd’hui, les insectes sortent de leur environnement naturel pour s’immiscer sur les podiums ! On connaissait déjà les coccinelles de Sonia Rykiel mais constat est fait: la secte mode des insectes s’agrandit. Sarah Burton pour Alexander McQueen fait de l’abeille la reine de sa collection ce printemps-été 2013 quand Alber Elbaz pour Lanvin construit l’automne-hiver parsemé d’insectes XXL…
Les abeilles :
Imprimés ou en touches plus discrètes, ils se font indéniablement une place de choix chez les créateurs. Et force est de constater que, curieusement, plus on les voit, plus on s’y attache. Mais de là à faire le grand saut ? Piano piano… La règle principale de cette tendance particulière est surtout de bien choisir l’insecte qui colle à son style vestimentaire: les modeuses au vestiaire pointu préféreront le bestiaire Alexander McQueen quand les adeptes du style grunge opteront pour le scarabée de Lanvin. Présentation de ce nouveau bestiaire.
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