Comment allier le confort sportswear d’une paire de baskets à la hauteur, plus féminine, des talons ? Les baskets compensées sont sans doute le fruit expérimental de la réponse à cette question. À vous de voir s’il est de bon goût.
Intronisée par Isabel Marant et son modèle « Willow » en 2011, la basket compensée est un hybride particulier : mélange de scratchs, de bourrelets, de lacets, de matières ET de talons.
Mais la bête divise. Si elle a tout de
suite été adoptée par la hype de la mode, rien n’est moins sûr du côté
du quidam lambda, l’adjectif « immonde » revenant le plus
souvent. Personnellement, les mecs à qui j’ai demandé leur avis ont tous
émis un avis négatif.
Mais je persiste à croire que certains modèles sont tout-à-fait potables. Associés avec un jean slim, j’aime bien leur dégaine streetwear. Et chez les petites, que les sneakers trop plates et/ou trop imposantes, tassent, ça peut être le bon deal.
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